DU TEMPS OÙ LES CAFÉS DE VILLAGE BATTAIENT LEUR PLEIN
Auguste Lepère croque sur le vif 1898. En Normandie, les cafés regorgent de bruits de chaises qu’on rapproche, de sabots qu’on racle, d’envolées et de rires, de p’têt ben qu’oui-p’têt bien qu’non, de tope-là sonores et d’apartés mystérieux. En 1898, en Normandie, les foires, les marchés aux bestiaux, aux poissons, aux hommes sont rois. AMICALE …
DU TEMPS OÙ LES CAFÉS DE VILLAGE BATTAIENT LEUR PLEIN Lire la suite »